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Le miel est un produit très consommé pour ses multiples vertus. Pouvant remplacer le sucre dans l’alimentation, ses bienfaits pour l’organisme ne sont plus à démontrer. Mais, savez-vous qu’il existe plusieurs types de miel ? La catégorisation ici dépend du mode de culture, mais également du goût. Découvrez dans cet article les différents types de miel disponibles sur le marché.
Le miel monofloral est un miel de grand cru. Il est produit sur la base d’une même fleur ou d’un même arbre sur une échelle de 80 %. En effet, il est impossible de contrôler totalement le déplacement des abeilles, ce qui rend impossible la création d’un miel 100 % monofloral. Afin de produire du miel monofloral, l’apiculteur s’investit dans la production d’une réserve de plante pour guider le choix des abeilles. Sur le marché aujourd’hui, les miels monofloraux les plus connus sont : le miel de colza, le miel d’acacia, le miel de châtaigner, le miel de romarin, le miel de lavande, le miel de bruyère, le miel de tournesol, le miel de chêne et le miel d’eucalyptus.
Le miel monofloral a un goût particulier qui renvoie à la fleur dont il est issu. Il concentre un certain nombre de vertus propres à la plante. Par conséquent, il est plus avantageux pour l’organisme. C’est d’ailleurs pour cela que c’est un type de miel très recherché. Vous pouvez acheter du miel monofloral de très bonne qualité produit dans l’Indre (36) près d’Argenton sur Creuse et Châteauroux en visitant https://ma-ruche-en-pot.com.
Le miel polyfloral est produit sur la base de plusieurs variétés de fleurs. C’est exactement le contraire du miel monofloral. Ici, les abeilles butinent où elles veulent et collectent sur plusieurs espèces végétales. Ce type de miel possède une diversité de vertus et sert surtout dans l’alimentation.
Les miels polyfloraux les plus connus sont : le miel de causse, de maquis, de montagne et de haute montagne, de printemps, de forêt et de garrigue.
On appelle miel de miellat, un miel dont la production implique l’intervention d’un intermédiaire. Il peut s’agir des pucerons, des psylles ou des aleurodes. Le principe est simple : ces insectes sucent les parties tendres des végétaux et se nourrissent des matières contenues dans la sève. Seulement, leur organisme ne digère pas les matières sucrées. Ces matières sucrées sont rejetées : c’est le miellat.
Ce type de miel se retrouve souvent dans le sapin, les chênes, les érables et les châtaigniers.